Breaking Dawn
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Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo]

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MessageSujet: Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] I_icon_minitimeMer 17 Mar - 20:52

Cela ne faisait que quelques jours que Vicky Harrison était arrivée en ville. Aux premiers abords, Hanover avait l'air charmante mais Vicky était très loin de se douter que cette ville cachait plein de secret. Vicky avait tout de même réussie à dénicher seule un petit deux pièces juste au dessus d'un restaurant chinois. Les odeurs n'était pas agéables mais mieux valait cela que de dormir dans la rue comme ce qu'elle avait connue à San Francisco. La demoiselle n'avait pas beaucoup de meubles, uniquement le nécessaire. C'est-à-dire une table et deux chaises pour manger ou écrire, un canapé qui pouvait se transformer en lit, d'ailleurs elle dormait dedans tout les soirs, une petite télévision, la petite cuisine était déjà équipée lorsqu'elle a emmenagée et une douche avec des toilettes étaient situés dans la pièce juste à côté. Ce n'était pas le grand luxe mais c'était chez elle. Cela lui convenait parfaitement. Ajouté à cela une décoration intérieure signée Vicky et là, ce sera véritablement chez elle. De sa vie d'avant, Vicky n'avait rammené que ses vêtements, ses chaussures, son ordinateur portable (cadeau de ses amis pour son dernier anniversaire) ainsi que son sac à main. Vicky n'était que depuis trois jours à Hanover et elle n'avait toujours pas visiter cette ville. Elle n'avait aucun contact, aucun ami . . Elle devait rapidement trouver du travail autrement elle risquerait d'avoir quelques soucis pour continuer de se loger, manger ou même vivre. A ses dix-huit ans, la demoiselle a pu touché le peu d'héritage que sa mère lui a laissée à sa mort mais elle ne veut pas y toucher. C'est presque la seule chose qui lui reste de sa mère. Exceptée son pendentif.

Vicky venait de sortir de la douche, elle se dirigea vers son armoire et en sortit un jean usagé aux genoux mais très confortable selon la demoiselle qu'elle assortira d'un tee-shirt manches longues rouge. C'était l'hiver, la neige n'était pas encore là mais le froid se faisait ressentir. La demoiselle se prépara un café bien chaud qu'elle accompagna de deux tartines beurrées avec de la confiture de fraise. Le budget nourriture était serré mais le patron du restaurant en dessous de l'appartement connaissant déjà la situation cahotique de Vicky lui offrait chaque soir les plats qui n'avaient pas été vendus ou terminés par les clients. N'étant pas difficile, la demoiselle les acceptait de bon coeur. Un peu de chaleur humaine ne faisait de mal à personne. Et puis, être en bon termes avec ses voisinsétait important. Terminant son petit-déjeuner, la demoiselle déposa sa tasse dans l'évier se disant qu'elle ferait la vaisselle en rentrant de sa journée. Effectivement, Vicky avait décidée que cette journée serait uniquement consacrée à sa recherche d'emploi. Elle avait imprimée une bonne quinzaine de Curriculum Vetae la veille au soir. Elle irait dans tout les petits commerces, les établissements publics . . Elle n'avait guère de qualification vu qu'elle avait stoppée ses étudesaprès sa terminale en obtenant de justesse son diplôme. Enfilant sa veste en cuir dégriffée - souvenir de San Francisco - et sa paire de converses - cadeau de sa meilleure amie, la dernière fois qu'elles s'étaient vues, Vicky ferma soigneusement la porte de son petit appartement à clés et descendit les escaliers la conduisant dans la rue. Au passage, elle salua ses quelques voisins et passants qui étaient présents. Mais petit problème, Vicky ne connaissait absolument pas la ville. Elle avait bien dénichée un plan mais n'avait pas un super sens de l'orientation. Elle commença à marcher à travers les rues et passa bien sûr devant des commerces mais aucun ne cherchait d'employés. Vicky commençait à désespérer. Jamais elle n'en s'en sortirait, il lui faudrait un miracle pour que sa situation change. Alors que la jeune fille était perdue dans ses pensées, autour d'elle quelques usines désaffectées se présentaient à Vicky. Des fenêtres cassées pour la plupart, la demoiselle trouvait que c'était un excellent endroit pour aller fumer un petit joint tranquillement. Elle vérifia d'abord que personne ne la suivait, la police était présente dans cette ville. Une chose que Vicky n'avait pas vraiment prévue. Elle qui détestait tout ce qui ressemblait à de l'autorité et encore pire lorsque celle-ci portait un uniforme. La jeune délinquante entra dans l'une des usines vides. Elle résonnait fortementet d'innombrables planches jongeaient sur le sol. Faisant très attention où elle mettait les pieds, la jeune fille se dirigeait vers les fond du bâtiment. Elle était à la recherche de la place parfaite quand tout à coup, la planche sur laquelle elle avait son pied craqua. Vicky s'effondra et son pied était coincé entre deux autres planches. N'écoutant pas la douleur, la jeune fille retira son pied mais ne pû marcher. Sa cheville lui faisait mal. Elle pria pour que quelqu'un passe par ici et la trouve mais elle ne se fit pas trop d'illusion. Qui viendrait dans un endroit pareil ?!! Vicky retena ses larmes. Ce n'était pas le genre de filles à pleurer pour un rien.
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Leo Atwood
Leo Atwood
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MessageSujet: Re: Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] I_icon_minitimeVen 19 Mar - 12:17

La banlieue était le genre d'endroit que l’on n’aimait pas fréquenter, à moins que l'on soit à la recherche des ennuis, qui invariablement finissaient par vous tomber dessus. Aussi sûrement qu'une horloge suisse. Le temps semblait comme s'être arrêté dans la zone. Les bâtiments semblaient comme perdre le combat contre les années. Certains moins délabrés que d'autres, tagués et abandonnée depuis bien longtemps. Et c'était le genre d'endroits qu'aimait fréquenter les rebus de la société comme ils s'appelaient eux-même.Les dealers, les personnes peu recommandable et plus simplement, les gens ne voulant pas être retrouvé. Car si il y avait bien un endroit pour être à l'abri des forces de police et autres personnes représentant le droit, c'était ici, dans les usines désaffecté. Autrefois un pôle industriel florissant, dont les entreprises n'avaient pas résisté à l'attraction asiatique pour produire à bas prix. Laissant leurs structure telle qu'elle, qui se délabrèrent avec les années, jusqu'à servir de refuge à ce que le monde faisait de pire.

Bref c'était le genre d'endroits que l'on évitait comme la peste, pour un peu qu'on ait un peu de jugeote, où qu'on tienne à sa vie. Car dans l'ombre des ces vastes usines abandonnée se dissimulaient la plaie suppurante du monde. Les buveurs de sang. C'était précisément ce que les loups était venu chercher ici. La neige recouvrait tout en ce début de journée, son épais manteau blanc dissimulant les affres du temps sur les lieux, en partie. Sous sa forme humaine, torse nu, son corps fumant légèrement sous l'effet de la chaleur qui émanait de lui, Léo avançait le pas serein dans l'enceinte de l'ancien site industriel. Son regard balayant les bâtiments, à la recherche d'un signe de vie. Car s'il cherchait les dits ennuis, c'était bien sur pour en apporter à ces ennemis naturels.

La ville, depuis son arrivée, était un terrain de chasse des plus abondants. Quelques choses semblaient attirer les sangsues ici, et Léo ignorait de quoi, il s'agissait jusqu'à ce qu'il rencontre la jeune mathilda. La seule vampire lui ayant jamais échappé. Pourquoi? À vrai dire, il l'ignorait encore. Il lui avait parut naturelle de l'épargner, comme si ça vie, s'était alourdit dans la balance, grâce à quelques artefacts vampirique. Une chimère? Sans doute, il n'ignorait que cette état de fait prendrait sans doute fin un jour, et qu'il devrait mettre fin à l'éternité dont jouissais la jeune suceuse de sang, bien que cela fut impensable pour le moment.

La petite rousse, et sa famille d'accueil, les Cullens avaient attirés la famille royale des vampires ici. Léo salivait déjà à l'idée de mettre fin à leur règne. Les Italiens semblaient redoutables, craint par beaucoup de leurs races. Léo ne les ayant jamais rencontré, il ne pouvait dire s'il s'agissait d’une image donnée pour se faire respecter, ou d'une réalité.

Les Cullens.

Léo était indécis quand à leurs véritable nature. Des vampires pouvaient-ils être assez fort pour résister à l'appel du sang? Peut être, cette jeune Mathilda lui avait semblé différente. L'éclat doré de ces pupilles pour preuve incontestable que le sang humain ne coulait plus dans ces veines, de quelques façon que ce soit. Cela étant, devaient-ils être épargnés pour autant? Les vampires ne méritaient pas de survivre, cela était incontestable, car dans la majeure partie des cas, il ne causait que dommage sur dommage à la société qui les voyait passer telle des fantômes issus d'un autre âge. C'était bien la première fois que le loup était confronté à ce genre de dilemme. Tuer, ou non, des vampires? Cela le déstabilisait, pire, lui faisait perdre ces repères. C'était pour retrouver ceux-ci qu'il s'était lancé dans l'idée d'aller chasser, directement dans l'antre des bêtes.

Il se dirigea vers une porte menant au bâtiment principal. Puisque les vampires ne daignaient se montrer, il irait les chercher. La grande porte était entre-ouverte, rouillés et rongés par le temps. Elle semblait bloqués. Reculant de quelques pas, il se précipita sur la dite ouverture et y expédia un magistral coup de pied. Porté de tout son poids, multipliant d'autant sa force naturelle, les gonds couleurs ocre, furent arrachés du béton vieillissant et la porte tomba lourdement sur le sol. Sa chute souleva d'importante masse de poussière et la silhouette imposante de l'indien se dessina dans l'encadrement. Son regard azur balaya l'obscurité de la salle et une mimique de désappointement se dessina sur ces traits. Vide, la salle était déserte.

Il avança dans la salle et pris la direction des escaliers, il y avait apparemment un escalier menant à la partie haute de la structure, peut être y aurait-il plus de chance. Il se figea. Son ouïe surdéveloppé perçues le craquement sinistre du bois rongés par les thermites et affaiblies par les années. Une certitude lui sauta aux yeux, il n'était plus seul.

Se faisant aussi discret que possible, il s'élança vers les escaliers qu'il gravit deux par deux. Les bruits de pas, ceux des vampires probablement, se faisaient de plus en plus distinct, il n'était plus très loin. Ces membres tremblèrent sous l'effet de son excitation, sa transformation imminente à présent. Il garda cependant le contrôle de lui même, à grand peine. Puis son esprit se rebella, des vampires? Assez indiscrets pour se faire entendre à plusieurs mètres? Il en aurait la confirmation bien assez tôt. Un craquement, bien distinct suivit d'un cri résonna dans l'immensité des locaux vide et l'amérindien se précipita croyant percevoir dans ce sinistre écho, les bruits d'une lutte entre une sangsue et sa proie. Mais le silence retomba, troublés par les sanglots naissant d'une victime. Alors qu'il poussait la porte pour entrer à l'étage supérieur, il perçut de son regard perçant, l'origine du bruit.

A l'autre extrémité de la salle, à moitié prise dans des planches brisés, sanglotant sous l'effet de la douleur et de la probable persuasion que personne ne viendrait ici. Ces tremblements cessèrent et léo s'avança pour aider celle qui ne semblait être, qu'une simple humaine. Le loup avança d'un pas rapide, observant les alentours immédiat, ne souhaitant se faire surprendre par des vampires.

La jeune femme, probablement une étudiante, tourna la tête vers lui quand le bruit de ces pas parvint à son ouïe émoussée. Léo se figea quelques instant. Un fantôme. On eut dit qu'il avait vu un spectre du passé et avait blêmit. Cela n'était qu'une demi-vérité.La jeune femme était d'une grande beauté, peut être que si son parfum aux relents de fruits des bois n'avait pas été aussi entêtant pour son odorat canin, qu'il aurait pu la prendre pour un vampire de loin. Un regard azur, un visage angélique sculpté à la perfection par une artiste divine, lui offrant une peau lisse et vue d'ici, semblait très douce. Son teint de neige mis en valeur par sa magnifique chevelure lisse cendré brune lui autant tout doute quand à sa possible appartenance au clan des sangsues. Elle était belle, et ressemblait trait pour trait à celle qui lui avait tant coûté. Son nom lui échappant comme un soupir à mi-voix.

" Jenna"

Il commença à reculer, le visage tordu par la douleur. Cette impression de voir celle qu'il avait tant aimer, revenir d'entre les morts pour rappeler à son cœur, cette douloureuse plaie qui le marquait de part en part était insupportable. Un véritable supplice. Puis s'immobilisa quand son esprit reprit un peu de sa superbe. Cette jeune fille, peu importe son apparence, avait besoin d'aide. Il avança de nouveau et à quelques pas d'elle, le sol se déroba sous ces pieds. La structure du dit sol, affaiblit par le craquement des premières planches et le poids de l'étudiante, cédèrent, emportant l'indien et la jeune femme dans une chute de plusieurs mètres. Léo, fort de son agilité parvint à se tordre pour faire face au sol et ainsi se réceptionner du mieux qu'il put. Les cris de la fille accompagnant leurs chutes. La jeune femme, elle, n’eu pas la chance du loup et percuta le sol avec violence, avant d'être ensevelit sous nombre de planche et de blocs de pierre. Léo se releva rapidement et se dirigea vers la jeune femme, empoignant planche et bloc de pierre à mains nue pour les envoyer valsé à l'autre bout de la pièce. En quelques minutes, il eut dégagé la jeune femme dont le jean et la veste en cuire se tâchait d'imposante tâche de sang. Il dévisagea le visage angélique de la jeune femme, lavée par les larmes et apaisé par l'inconscience. Il vérifia immédiatement le pouls de la jeune femme, plaçant ces doigts à quelques millimètres de sa carotide tandis qu'il empoignait sa main pour vérifier la vie dans le corps de la fille. Le pouls était lents, mais réguliers, sans doute la douleur était la seul raison de la perte de conscience de l'étudiante. Il l'empoigna donc par les épaules et sous la taille pour la soulever comme si elle ne pesait rien et la déplaça loin de l'emplacement dont les restes du toit menaçaient de s'effondrer.

Léo s'assura qu'elle allait bien et après s'être assuré que les locaux étaient vide, l'abandonna pendant quelques minutes, le temps d'aller chercher de quoi la soigner. L'hôpital n'était pas loin, il n'aurait aucun mal à entrer et à sortir sans être vu.

Lorsqu'il revint, moins d'une demi-heure plus tard, la jeune femme était là où il l'avait laissé, Étalée sur le sol. Il déposa son butin de l'hôpital et s'agenouilla devant la jeune femme. Il défit sa veste et la déposa sous sa tête, avant de découper, plutôt arracher le haut de la jeune femme pour mettre à jours les blessures du corps meurtrie de l'adolescente. Rien de pervers l'a dedans, Léo ne s'attarda même pas sur ces formes plus que généreuse, cela faisait bien longtemps que les femmes ne faisaient plus partie de ces préoccupations, tant son cœur mutilé ne pouvait leurs être, à elle, d'aucune utilité. Empoignant compresse et liquide désinfectant, il humecta les tissus stérile et nettoya consciencieusement les plaies de la jeune femme. De simples égratignures pour ce qui concernait son torse, des bleues et de simples estafilades qui avait beaucoup saignées pour des entailles sans gravité aucune. Lorsqu'il descendit plus bas, déchirant son jean pour libérer les chevilles et les tibias ensanglantés de la jeune femme, il se rendit compte que cela était un peu plus sérieux ici. Rien d'handicapant cependant. Il nettoya les plaies et protégea les plaies un peu plus profondes, là où les blocs de béton avaient entaillés sa chair, à l'aide de bandage tirés de son butin pris à la clinique. Lorsque ce fut fait, satisfait de son travail, il la couvrit avec une couverture et déposa les quelques habit qu'il avait dérobé à l'hosto à côté d'elle. Il se leva, prêt à partir, avant de se rappeler pourquoi il était venu. Sauver cette fille pour la sacrifier à des sangsues n'était pas malin, aussi se décida-t-il à attendre qu'elle se réveille.

Ce qui n'arriva pas avant la soirée. Léo attendit patiemment, appuyé contre le mur en observant la jeune femme. Lorsqu'elle émergea enfin des bras de Morphée, elle était allongé confortablement sur une couverture, couverte par une autre et un feu, cerclés par des blocs de pierre et alimenté par les planches qui avait faillit la tuer crépitait devant elle, baignant le corps de la jeune femme dans une agréable chaleurs. Dehors, la nuit était tombé, et Léo scrutait avec un regard aguerris l'obscurité ambiante. Ici la jeune femme ne risquait rien, malgré l'arrivée de la période de chasse des vampires. La neige recommençait à tomber, rendant les alentours glacial, si bien que les alentours immédiat du feu de camps improvisé était le seul endroit viable de la structure, du moins pour quelqu'un sensible au froid. Il observa la jeune femme se réveillant, son visage tordu par la douleur et l'inquiétude. Que faisait-t-elle ici? Pourquoi était-elle quasi-nue sous sa couverture? Et qui était ce jeune homme tors nu en plein hivers? Telle était les questions que s'attendait à entendre le jeune homme. Pourtant, il n'en montra rien et articula simplement:

- Bonjour.

Cela était dit comme lorsque l'on se réveille, amicalement. Puis il ajouta:

- Enfin, bonsoir plutôt, ajouta-t-il avec un petit sourire.

Il attrapa le sac "emprunté" à l'hôpital et en sortit une bouteille d'eau et une boite d'anti-douleur. Il les tendit à la jeune femme.

- vous devriez prendre un de ces analgésiques, la douleurs de votre cheville va bientôt revenir maintenant que vous êtes éveillée.
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MessageSujet: Re: Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] I_icon_minitimeMar 23 Mar - 16:35

Vicky n'était pas le genre de demoiselle que l'on qualifirais de maladroite. C'était plutôt l'inverse. Vicky est exactement le genre de personnes qui ne se soucient pas du danger. Elle était bien trop confiante, sûre d'elle . . Ce qui faisait que, bien évidemment, la jeune fille tombait très souvent. Aussi bien physiquement, que moralement. Vicky se souvient également de la première où elle s'est retrouvée à l'hôpital. Elle jouait tranquillement au football avec ses cousins quand tout à coup, à cause d'un faux mouvement, la demoiselle se fit une magnifique entorse à la cheville. Transportée d'urgence à l'hôpital le plus proche par sa tante, vivky en ressortit quelques heures plus tard avec un charmant mais encombrant plâtre à la cheville et des béquilles. Elle devait avoir aux alentours de huit ans. La jeune fille avait dû garder ce plâtre durant trois semaines et avait eu l'immense chance d'avoir des séances de ré-éducations pendant deux semaines derrière. Il y avait de quoi vous plomber vos grandes vacances d'été avec cela.

Après avoir retiré son pied d'entre les planches, Vicky s'était adossée à un mur et avait posée sa jambe blessée à terre. Elle voulut essayer de se lever mais il n'y avait rien à faire. D'habitude, la jeune fille n'écoute pas sa douleur mais cette fois-ci la douleur était bien trop forte. C'était comme si on lui enfonçait des lames dans le pied et cela montait jusqu'à sa cheville et, également, à mi-mollet. Vicky pria Dieu de toutes ses forces, bien qu'elle ne soit pas du tout croyante, que quelqu'un lui vienne en aide. Ou bien elle serait condamnée à rester ici jusqu'à ce que la douleur soit moins forte. N'ayant avalé qu'une seule tartine et un café ce matin avant de partir à la recherche d'un travail, le ventre de Vicky commençait à crier famine. Ses forces aussi commençaient à lui manquer. Le fait de forcer sur sa cheville blessée pour tenter de se lever, lui avait totalement mangé toutes ses forces. La tête contre les murs, ses yeux commençaient à se fermer. Elle revoyait toute sa vie d'éfiler devant ses yeux : sa naissance, son enfance, le divorce de ses parents, la misère qu'a été sa vie après le divorce, la rue, la drogue . . Tout. Ne voyant toujours personne arrivé, la jeune femme pensa alors que la fin était proche, son heure était arrivée. Allongée sur les planches crasseuses, Vicky avait fermée les yeux pour de bon mais était toujours consciente. Elle entendait marcher. Puis plus rien . . Etait-ce son imagination ?! Devenais-t-elle folle ?! Elle n'eut pas le temps de répondre à sa propre question, que la jeune fille s'endormit. Comme à chaque fois qu'elle s'endormait, la demoiselle rêvait que ses parents étaient toujours ensemble, heureux comme au premier jour et qu'elle vivait avec eux dans une somptueuse villa au bord de l'eau. Elle avait huit ans et était heureuse avec ses parents réunis. Malheureusement, ce n'était pas le cas. Elle avait aujourd'hui vingt ans, sa mère avait succombée à une overdose, son père s'était remarié avec la prof de danse de sa fille et avait eu une autre petite fille qui était âgée de dix ans aujourd'hui. Vicky était un peu jalouse de cette enfant, elle avait ses deux parents alors qu'elle n'avait plus personne. C'était tellement injuste. La jeune femme qu'elle était devait se débrouiller seule. Sans diplômes en plus c'était très dur de trouver. N'étant pas encore majeure, elle ne pouvait pas travailler dans un bar. Même en tant que serveuse. Elle testait donc la secode option à savoir : le Mannequinat.

Vicky rêvait. Aucun cauchemard, elle ne bougeait pas. On aurait dit un ange endormi. Lorsqu'elle commença à se réveiller et ouvrir les yeux, Vicky remarqua un jeune homme torse nu qui se tenait non loin d'elle. Il la salua poilemment et lui tendit une boite d'analgésiques pour ne pas que la douleur ne se réveille. A premières vue, cet homme avait l'air très gentil mais comme d'habitude, la demoiselle ne se méfiait pas. Elle n'avait aucune conscience du danger et se retrouvait très souvent dans une situation plus qu'inconfortable. Elle remercia d'un hôchement de tête positif l'homme et avala le cachet avec une bouteille qu'il avait apporté. Vicky trouvait très étrange de voir quelqu'un torse nu alors que dehors c'était l'hiver. Elle, elle avait revêtue son gros manteau, une épaisse écharpe et des mitaines pour ne pas avoir froid. Elle était bien contente de ne plus dormir dans la rue en cette période de grand froid. La demoiselle aurait bien aimée héberger quelques unes des personnes qui s'y trouvait encore mais la minuscule taille de son logement ne lui permettait pas cela. Elle était désolée pour eux et aimerait beaucoup pouvoir fonder une association qui permettrait de les aider. Ayant vécue quelques temps dans ce genre de situation, elle connaissait parfaitement bien cela. Comment manger à sa faim tout les jours ?! Les différentes combines pour dormir quelques part au chaud. Cela n'avait pas été difficile pour Vicky, son physique étant très avantageux. La demoiselle s'en servait beaucoup pour charmer les garçons qu'elle croisait et ainsi elle était quasiment certaines de ne pas dormir à la rue ce soir-là. Aujourd'hui, elle n'avait plus besoin de faire cela mais ne refusait jamais la compagnie d'un homme, le soir.

_Bonsoir ?! Déjà ?! combien de temps ai-je dormi ?! Vous êtes là depuis longtemps ?!

Vicky n'en revenait toujours pas. C'était déjà le soir. Elle n'avait pas encore posée un seul CV aujourd'hui. Plus elle retardait l'échéance et plus vite, elle aurait des problèmes d'argent.
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Leo Atwood
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MessageSujet: Re: Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] I_icon_minitimeMer 31 Mar - 14:08

Léo regarda la jeune fille se saisir du cachet et ouvrir la bouteille d'eau avec un hochement de tête pour le remercier. L'indien eu un sourire en retour, un sourire rare sur son visage fermé par les année de guerre vampiriques. Elle referma la bouteille et la posa sur le côté.

_Bonsoir ?! Déjà ?! combien de temps ai-je dormi ?! Vous êtes là depuis longtemps ?!

Le jeune homme étouffa un rire, une bien étrange jeune fille en verité! elle se réveillait à moitié nue dans une usine avec un inconnu et la seule chose qui l'inquiétait était le temps qu'elle avait passée dans les bras de morphée!Alors qu'il s'apprêtait à répondre à la jeune étudiante, son esprit fonctionnait à plein régime pour trouver une réponse aux questions embarrassante que la fille ne manquerait pas de lui poser. Reprenant son sérieux, le jeune homme répondit simplement.

- Assez longtemps. Il est relativement tard, où tôt, cela dépend du point de vue selon lequel on se place.

Il se tût, ne sachant quoi rajouter. Son regard azur se perdit dans la contemplation des traits angélique de la jeune Vicky. Elle lui ressemblait tellement que s'en était douloureux. Il avait l'impression de converser avec le fantôme de jenna. Un fantôme qu'il aurait pu toucher, sentir... Il soupira, repoussant la vague de sentiments qui l'envahissait. Voilà longtemps qu'il n'aura pas eu à mentir à un humain, ne les fréquentant pour ainsi dire jamais. La vie en tant que loup était immensément simple. Pas d'obligation qu'elle quel soit, pas de sentiments. Pas de relations avec d'autres, Juste la chasse et la mort.

Avoir la nature pour seul compagnie n'était pas sans inconvénient, elle amenait son lot de solitude. Une solitude pesante que léo avait appris à gérer, l'appréciant même au début. Puis ce sentiments s'était vite fait remplacé par une habitude. Léo s'habituant à n'avoir que sa seul voix pour écho. Il eu un sourire timide, essayant d'être gentil. Elle ne devait pas être spécialement rassuré à l'heure qu'il était.

Se demandant ce qu'il allait bien pouvoir lui dire, il se dit que la vérité n'était pas envisageable. Il se devait de garder le secret, c'était une loi que même lui se devait de garder car par ces imprudences, c'était l'ensemble de sa race qu'il mettait en danger. Répondre à un éventuel " que faisiez vous là" devenait ainsi un véritable parcours du combattant. Le lycan se voyait mal lui répondre " je chassais les vampires, je vous ai sentit alors je suis venu." A cela, il fallait ajouter sa propre situation. Il se maudit de son imprudence, la jeune femme ne manquerait pas de lui demander ce qu'il faisait torse nu au milieu de l'hivers, quand la température extérieur frôlait les -10°c .La encore, répondre " je suis un loup, ma température est naturellement plus élevé, elle frôle actuellement les 43°c. Je n'ai donc jamais froid'. Il détourna son regard du tableau que représentait la jeune fille pour lui et soupira. Il détestait mentir, même quand il y était obligé comme maintenant. Dans un éclair de génie, il se dit que la meilleur façon d'éviter les questions était encore d'en poser. Cette perspective lui arracha une grimace, il n'aimait pas tenir le crachoir, peut être un aléa de sa solitude. Se résignant, le loup se tourna vers la blessée.

- Je m'appelle Léo. Ces usines sont un endroits guère accueillant. Encore moins pour une jeune et jolie fille comme vous, Que faisiez vous ici toute seule?

La sensation qui l'habitait était désagréable, habitué à ce que rien ne l'atteigne, muré par les remparts que formait son sens de la répartie et sa réplique facile. Ici, plus rien, il avait la douloureuse impression de ne jamais vouloir que ce moment ne se termine. Il voyait en cette jeune fille, le spectre de celle qu'il avait éperdument aimé avant qu'on la lui arrache. Cette dépendance était nouvelle, inhabituelle aussi. Son coeur lui faisait mal, il semblait compresser par les sentiments qui déferlait en lui comme un tsunami. Un coeur qui n'avait pas vu ce sentimentalisme depuis des années. Que ce passerait-il quand cette inconnue repartirait? Que ce passerait-il quand lui devrait repartir, une fois les vampires de cette ville éradiqué?

Que ferait-il?

Il était perdu, pour la première fois depuis ce qui semblait être une éternité, il ne savait pas qu'elle attitude adopter. La plus sage, aurait voulu qu'il laisse vicky seule ici et advienne que pourra mais il était trop tard, sa conscience et son coeur piqué au vif l'en empêchait. Une éternité, c'était bien de cela qu'il était question. Léo lui était enfermé dans son âge tant que ces gènes lupin était actif, ce qui au vu de son train de vie, lui donnait de très nombreuse année devant lui.
Alors pouvait-il partir, la maintenant et la laisser ici en étant sûr que rien ne lui arriverait? Non, la réponses était sans appel, pour une raison qu'il ignorait d'ailleurs, trop ignorant des loi de l'attraction.

Ce qu'il savait, c'est que pour rien au monde, il n'aurait voulu être ailleurs à cet instant. Clara le charrierait sûrement pendant des heures dès qu'il reprendrait sa forme de loup et qu'elle aurait accès à ces pensée. Une perspective plus que dérangeante au vue de ce l'était qui était le sien actuellement.
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MessageSujet: Re: Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] Trois petits tours et puis s'en vont [Pv Léo] I_icon_minitimeMar 11 Mai - 18:47

    Spoiler:

    Depuis le divorce de ses parents, Vicky ne croyait plus en l'amour. Pour la demoiselle, l'amour et les hommes ne signifiaient pas grand chose puisqu'au final, nous finissons toujours par souffrir. C'est pour cela qu'elle ne veut pas s'attacher à quelqu'un. Mis à part ses quelques amis et sa mère, la jeune demoiselle n'a personne d'autre à qui elle fait entièrement confiance. Mais depuis qu'elle a emménagée dans cette ville, Vicky n'a plus personne et commence à se renfermer sur elle-même. Elle passe ses journées à écumer la ville à la recherche d'un emploi même minime et, quand arrive la nuit, Vicky rentre dans son modeste appartement. Elle ne va plus en boite de nuit, ne traine plus ni dans les bars, ni dans la rue . . Bref, Vicky Harrison se renferme sur elle-même. Ne pouvant oublier l'homme qu'elle a tuée accidentellement dans son ancienne ville. En plus, personne ne l'a jamais soupçonnée. L'enquête a été conclue en réglements de compte, l'homme devait de l'argent à des personnes pas très nettes.

    L'homme assis aux côtés de Vicky était véritablement charmant mais la demoiselle s'interdisait de tomber amoureuse. Elle ne voulait pas s'ouffrir comme sa mère avait souffert de la séparation d'avec son mari. Elle inspecta les environs et s'étonnait de toujours se trouver dans cette fameuse usine. Sa jambe lui faisait moins mal qu'auparavant mais elle était à moitié nue. Son regard interrogateur se porta sur le jeune homme torse nu assis à ses côtés. La nuit était tombée, ce qui signifiait qu'elle avait dormie toute la journée et avait encore une fois oubliée de déposer ces CV. Plus elle tardait et plus ses problèmes d'argents augmenteraient rapidement. Vicky aimait son idépendance mais, certaines fois, c'était dur de subvenir seules à ces besoins. Elle comprenait mieux à présent ce qu'avait ressentie sa mère lorsqu'elle a dû s'occuper seule de sa fille.

    _Quoi ? Mais comment ça se fait ? Et que m'as-tu fait ?

    En effet, Vicky se sentait un peu sonnée et surtout encore endormie. Elle se demandait ce que ce jeune homme lui avait fait et également qui il était. C'est vrai, Vicky ne connait personne ici et ce jeune homme la sauve. C'est étrange.

    _Comment tu t'appelles ? Moi c'est Vicky, Vicky Harrison !!


/!\ Attention les 20 lignes minimum ne sont pas atteintes ▬ Nate
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